Calligraphie

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La papèterie Tsubaki d’Ito OGAWA, aux éditions Picquier Quand on voit toutes ces fleurs, on est heureux d’être en vie.…

Là-bas

Là-bas

Parfois, il ressemble si peu à une personne qu’il devient rassurant comme un ordinateur. […] Il découvre comme ça que le visage des gens change avec le bien qu’ils vous font. […]
Mais la vie est ainsi faite que chaque bonne nouvelle semblait aussitôt contredite par un quelconque coup dur. L’amour n’était pas cette symphonie qu’on vous serinait partout, publicitaire et enchantée. […] Et puis cette phrase qui coupait la vie en deux : maman est morte. […]
Bientôt, l’aube sort de terre, pâle, rose et bleue, arrondie à sa surface, et le garçon la voit se répandre délicatement depuis le sol, infusant le ciel de sa tendresse progressive. […] C’était loin et cruellement là. […] Il faudrait peut-être effacer les photos, se condamner au présent pour de bon.